| Dernières réponses | |  Quazda écouta d'une oreille peu attentive les paroles du scribe, il comprit tout juste qu'il devait se rendre chez le roi, s'il devait se trouver un travail... Le guerrier jeta un regard au scribe dans le quel on percevait la douleur que ressentait l'humaine de cette prise de tête alcoolisé.
De geste peu assuré, l'humain se leva, serrant la main du scribe et le remerciant d'un vague "Merci" en se demandant si il pouvait se permettre de lui demandé une aspirine -C'est quoi ça?!?- mai en conclu que non et s'en retourna dans le couloir. Là il ne sut si il devait allé à droite ou à gauche. Il se décida pour aller à gauche et tomba sur un cul de sac.
Laissant traîné sa tête contre le mur, il tomba dans les, tâtant de façon magistrale toute une flopée de marche, renvoyant par chez lui le champion du monde de bon artistique. Puis là, comble du malheur, il s’aperçut qu’il avait oublié son épée dans le bureau du scribe et s’en retourna la cherché. Dans le bureau, il la retrouva prêt de la chaise ou il l’avait délaissé et ou siégeais à présent une jolie jeune femme. Sans un mot il repartit pour se trouver une petite ruelle ou gerbé tranquille...
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| | Le scribe regarda le jeune homme un peu plus rassurer et dit :
Scribe : "Vous me sembler correcte vous pouvez vous promener a votre guise dans le château et pour un métier potentielle vous devez aller voir le roi lui-même seul lui a le droit de prendre une telle décision. ".
Le scribe regarda a nouveau le jeune dans les yeux et rajouta :
Scribe : "seulement c’est fini de picoler vous pouvez boire mais raisonnablement. ".
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| | [ Shasha: shraw n'est pas une ville? xD on sait que la carave de naktalia est un grande foruml rp!!!mais c'est pas une raison pour le confondre avec le tiens^^"]
Le guerrier se redressa quelque peu, pour ne pas paraître trop pitoyable malgré son air aviné...
" J'en suis à mon dix-septième printemps, j'ai une grooooose épée, je n'ai jamais vraiment suivit de maître artisan, à vrai dire, il me faudrait trouver un travail dans cette ville (?) Ainsi qu'un toit sous lequel dormir.
Je viens du pays d'Endoran, dans la région d'Ylgard, précisément dans un petit bourg de la capitale Stormgard. Mon père est un vétéran, ami du roi de Stormgard, qui c'est reconverti en bûcheron, j'ai vécu avec lui pendant de nombreuses années, l'aidant dans son travail de bûcheron... Puis un soir j'ai bousillé sa hache alors il m'a dit de me débrouillé seul... à grand coup de pied dans le cul, certes, enfin bref, je suis partit sur la route, allant quérir un poste dans l'armée Royale, malheureusement je ne suis pas très doué dans le maniement de la lance, je fus vite renvoyé, à force de mettre des grands coups de hampe dans mes camarades... Je repartis donc aux grés des chemins... par hasard je croisa le chemin de mon seul véritable ami, Danan, nous passâmes un certain temps ensemble, lui en temps que guérisseur et moi le protégeant, mercenaire gratos'...
Puis il dut retourner chez lui, et j'appris quelques années après qu'il appartenait à la maison d'Hildegarde, une branche parallèle à celle du roi...
Je suis donc arrivé ici, après être passé dans un petit village d'où on me chassa..." Le guerrier tournait de l'œil, parlé ainsi lui faisait extrêmement mal à la tête...
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| | Le vieil homme peu certain(je suis pas sur de l'orthographe je ne suis pas un pro)regarda l'homme de haut en bas peu rassurer car la présentation de ce Quadza qui laissait quelque peu a désirer.
Vieil homme: "Age,Armes,Formations quelconque pour un métier,animal de compagnie,histoire sur votre passés et surtout,pourquoi voulez vous integrer la caravane???"
Le scribe leva les yeux vers Quazda,lui laissant le temps de repondre.
Message édité le 08-04-2006 à 11:31:42 par Shaigan |
| | Le guerrier avançait lentement, prenant milles précautions. La colline était d'une pente douce et il la descendait lentement, le soleil au dos, sa cape usée flottant au vent, sa large épée lui donnant un aspect hostile...
Il était harassé: ses bottes boueuses en témoignaient parfaitement. Son dos s'affaissa, et finalement, il finit la descente en roulant. Ils e releva lentement comme si chaque mouvement lui coûtait, révélant son visage au grand jour...
Ses traits étaient fins, il avait un petit né, pas très prononcé, des cheveux bruns ébouriffés, vêtu d'un pantalon court et d'une tunique dont les manches avaient été arrachés. Les larges replies de sa cape enfouissait son cou en son sein, d'épaule plutôt forte, il était pourtant malingre, sa petite verse soulignant ses muscles saillants, il répondait à certain critère de beauté, pourtant, ses jambes étaient trop petites pour sa carrure, surtout que sa veste surlignait sa largeur d'épaule. Il devait faire dans les un mètre soixante-cinq, un mètre soixante dix tout au plus...
Il avait des yeux bleus... aviné. De petite cerne soulignait la rougeur de son regard, de petit faisceau sanguin ayant éclaté à cause de l'alcool. Il avait but et il en essuyait en ce moment même ses plus grands défauts: La gueule de bois.
Il s'approcha de la ville espérant y trouver refuge le temps de dé-soûlé complètement, et peut-être y résidé après s'être fait jeter par son père...
Arrivé en ville, il demanda son chemin, et on lui indiqua la grande citadelle du roi Shaigan - encor un crétin qui veut se faire roi- où il se rendit, s'aidant parfois du mur pour progresser, arrivé là on lui dit de monté les étages jusqu'au cinquantième... et pas d'escalier - quant inventera t-on quelque chose pour monté plus vite? - et arrivé au cinquantième ben... Il se mit à ouvrire les portes une par une.
Il dérangea ainsi: Deux vieilles dames, un couple sado-masochistes, Michael Youn, la princesse du pays d'enfâce entrain de se faire violemment sodomisé et pour finir... un poulpe.
Quant il vit le vieux scribe, il en eut presque les larmes aux yeux, tellement son mal de tête avait empiré. Il s'approcha, et sans en demandé la permission au préalable, s'affala dans un siège, retirant son épée et la posant à son côté.
Ne sachant pas vraiment quoi dire, il débuta simplement:
"Bonjour, je me nome Quazda Kelde et... et bien j'aimerais rester ici pour un certain temps..."
Sa voie avait quelque chose d'étrange, comme une symphonie incertaine d'une contré reculé reculée, accent mélodieux rythmé au thème d'un métronome compliqué. Sa voie avait quelque chose de cristallin, comme une note d'un piano bien accordé...
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